1. L'auteur fait référence à une époque passée, probablement antérieure à la période contemporaine. Il utilise cette formule pour situer le contexte temporel de son propos et pour souligner un contraste avec la situation actuelle.
2. L'auteur veut dire que, à ce moment-là, l'œil humain était soumis à une quantité sans précédent de stimuli visuels provenant de la publicité et des médias. Il suggère que les individus étaient constamment exposés à une surcharge d'informations visuelles.
3. À la fin du premier paragraphe, l'auteur utilise la métaphore de "l'homme-panneau publicitaire" pour décrire la façon dont les individus étaient devenus des supports publicitaires ambulants, portant des marques et des logos sur leurs vêtements et accessoires.
4. L'auteur appelle "homo consommatus" la nouvelle étape de l'évolution humaine face au matraquage publicitaire pour souligner l'idée que la société de consommation a transformé les individus en consommateurs avides, dont l'identité et les comportements sont fortement influencés par la publicité.
5. Dans le deuxième paragraphe, l'auteur utilise les termes "envahisseur", "bruyant", "esclave", "prisonnier" pour décrire la relation entre les médias, la publicité et l'homme moderne. Ces termes suggèrent une domination oppressante et une perte de liberté de la part de l'individu face à l'influence des médias et de la publicité.
6. Dans sa comparaison avec la caverne de Platon, l'auteur assimile les émissions de télévision aux ombres projetées sur les parois de la caverne, qui représentent une réalité illusoire et déconnectée du monde réel. Quant à la télévision elle-même, il la compare à la source de lumière qui projette ces ombres, contrôlant ainsi la perception des téléspectateurs. Les téléspectateurs sont donc assimilés à ceux qui sont captifs de cette réalité médiatique et qui ne voient que ce qui leur est présenté à travers l'écran.