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Devoir de Français Sequences

Doc. 1 Aune passante
La rue assurdissante autour de molhat
Long, mince, end deul, douleur majete
Une femme pas de mainte
Soulevant, balançant le feston et les
Awile et noble avec sa jambe de statue
Moi, je buvauscript comme un extravagant
Dans son oeil, ciel livide one louragan
La douceur qui fascine et le plaisir quite
Un éclair puis la nuit. Fugitive beaute
Dont le regard m'a fait soudainement renaire,
Ne te verras-je plus que dans l'eternite?
Ailleurs, bien loin d'ici trop tard jamais peut etre
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais ou je vais
O toi que jeune amée, à toi qui le savais
Baudelaire
Doc.3 : la salle à manger
11 y a une armoire à peine laisante
Qui a entendu la van de mes grands-tantes.
Oui entendu la voix de mon grand.pere
Aces souvenirs l'armoire est fidele
On a tort de croire qu'elle ne sait que se taire.
Car je cause avec elle.
Il y a aussi un coucou en bois.
Je ne sais pourquoi il n'a plus de vois
Je ne veux pas le lui demander
Peut-être bien qu'elle est cassée, la voix qui ait dans son ressort
Tout bonnement comme celle des morts.
Il y a aussi un vieux bullet
Qui sent la cire, la confiture.
La viande, le pain et les poires mares.
C'est un serviteur fidele qui sait
Qu'il ne doit rien nous voler.
Il est venu chez moi bien des hommes et des femmes
Qui n'ont pas cruces petites ames
Et je souris que l'on me pense seul vivant
Quand un visiteur me dit en entrant :
Comment allez-vous, monsieur Jammes?
Francis Jammes, La salle à manger, 1898
DEVOIR: Les poèmes 1 A une passante et 3 La salle à manger comportent 12 figures de style. Vous relevez et identifiez 7 figures de style. Puis vous en expliquez 5, au choix. Devoir noté à envoyer.

1 Answer

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Bonjour,

Answer:

- la rue assourdissante autour de moi hurlait » « rue » est une métonymie

- La Rue assourdissante autour de moi hurlait », je dirais aussi une allitération en "r"

- comparaison « jambe de statue »

- « longue, mince » « majestueuse » « fastueuse » = énumération

- Métaphore = « son œil, ciel livide »

- Parallélisme : « O toi que j’eusse aimé, ô toi qui le savais »

User Onel Sarmiento
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